CASSE-TÊTES

Du simple au plus élaboré, les moyens de faire son propre casse-tête à partir de ses propres images ou dessins ne manquent pas.

La façon la plus directe est de couper l’image en morceaux de tailles et de formes quelconques. Il peut être préférable de tailler des morceaux de tailles similaire, mais c’est comme bon vous semble. Toutefois, cette méthode ne permettra pas aux pièces de s’imbriquer et un simple coup de vent saura défaire votre mosaïque.

Que vous preniez cette voie ou une autre, il est souhaitable d’utiliser une reproduction et non l’image originale. Ainsi, vous aurez un modèle pour guider vos efforts de reconstitution. C’est d’autant plus utile pour quelqu’un à qui vous offririez le casse-tête, et qui n’aurait jamais vu l’image originale.

Si vous avez une imprimante, et la patience de découper des pièces de forme traditionnelle, il y a de bons outils en ligne. Jetez un coup d’œil à ce gabarit modifiable sur Telegnom.org. Il y a aussi plusieurs gabarits imprimables sur Twinkl, mais contrairement au précédent, il faut s’inscrire sur le site.

Il y a aussi les options commerciales qui varient en prix et en qualité. CreateJigsawPuzzle offre un choix varié, dont des pièces en bois et en plastique, en plus de l’habituel carton.

Pikkii vend un beau produit qui consiste en un casse-tête vide, mais avec un contour imprimé et stylisé aux allures de cadre pour peinture sur toile.

Si vous achetez un casse-tête vide pour y tracer votre dessin, pensez à prendre une photo quand l’image est terminée. Vous aurez un modèle pour guider la personne qui tentera de la reconstituer.

Pour un casse-tête réussi, mieux vaut choisir une image en pleine page, avec de la variété dans les couleurs et les contrastes.

landscape, pencil, paper, 2020s
Paysage. Sri, 2021. Source: CDIC-CIDE.

Journée mondiale de l’enfance 2023

Ils devraient être ce qui compte le plus à nos yeux, pourtant ils sont nombreux à souffrir, à mourir même, d’est en ouest et du nord au sud. À l’occasion du 20 novembre 2023, nous ajoutons notre voix à de nombreux organismes caritatifs à travers le monde, pour dénoncer la négligence et les agressions que subissent les enfants.

Empressons-nous tous de nous familiariser davantage  avec les droits de l’enfant, d’en parler et d’agir pour la sécurité et le développement des enfants. Les sources d’information ne manquent pas, à portée de main sur Internet. Prenez par exemple la recherche et les rapports offerts par KidsRights, situé à Amsterdam. Leurs analyses sont récentes, et leurs programmes impliquent directement des jeunes d’une quarantaine de pays.

Pendant ce temps, tel que rapporté d’une rencontre de la Commission sociale, humanitaire et culturelle de l’ONU en octobre, on pouvait y entendre les représentants nationaux se renvoyer le blâme à propos de la sécurité des enfants dans le monde. C’est sans doute une bonne chose que le sujet soit débattu, mais le ton et la bonne foi des participants laissent à désirer.

Au Canada, le 25 novembre prochain, la Coalition canadienne pour les droits des enfants présentera lors d’un webinaire, les travaux et les résultats d’une étude menée par de jeunes chercheurs. La présentation gratuite sera en anglais, et accessible aux jeunes. Une pré-inscription est requise.

Maison en flamme. Par Yvon, c1967. Source: CDIC-CIDE.
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